base de donnée

des inscriptions de faux en écriture des juges pour enfants, sociaux, pmi, ASE exDASS, policiers, gendarmes etc dans les séquestrations de nos enfants dans les ASE ex DASS

Je vous demande :

1- d'inscrire en faux en écriture publique les documents qui relatent de faits faux dans vos dossiers (decision de justice, decision administrative etc ) auprès de votre tribunal, (voir les exemples sur mes deux blogs), et d'envoyer à son auteur copie de l'inscription, en lui demandant de revenir dessus sous peine d'être poursuivi,

2- de scanner les documents et de me les envoyer en piéces jointes dans un email, à sbouboule1@aol.fr avec comme titre "nouvelle inscription de faux"

Je les mettrais en ligne dans une base de données ou autre (c'est en cours) merci


dimanche 7 mars 2010

génocide volontaire par violation délibéré des règles de droit organisé par 444 juges pour enfant et les parlementaires français

Prennez ces éléments en copie pour vous aider à défendre votre, NOTRE droit :

L'article 1187 NCPC viole l'art 6 de la convention européenne de droits de l'Homme

En application, la jurisprudence de la CEDH en de multiples affaires (notamment affaire McMichael contre UK; n°41/1993/446/525, BICC, 15.07.1995, p6) a constaté qu'avec ou sans avocat, l'égalité des droits doit être la même et que dans les procédures d'assistances éducatives comme dans toutes les autres, l'information du contenu des pièces par le juge ne suffit pas, c'est la production, la copie et la détention des pièces par l'intéressé qui démontre que le procès peut être alors équitable, parce que la personne est à même d'opposer à ces pièces d'autres documents mais aussi confondre les auteurs de faux par des preuves produites à l'appui de sa cause. Elément fondamental du droit de la défense.

La cour européenne des droits de l'homme a donc statué : la production des pièces est fondamentale à un procès équitable.
Or les art 1187, ali 1 et 4, 1190 al 3, interdisent la production des pièces aux intéressés, ils sont en contradiction formelle avec d'autres articles de lois françaises et avec la convention européenne des droits de l'Homme, et par cela, ils sont donc inapplicables, et NUL et NON avenue. nous avons donc des parlementaires français qui ont osé écrire le contraire de la convention européenne des droits de l'homme, mais surtout le contraire au bon sens, comme pour les traités de l'union européenne.

Affaire Foucher /france n°10/1996/629/812 Dalloz 1997 arrêt du 18/03/1997 : tout citoyen a le droit de se défendre seul tant en matière pénale que civil, et que dans ce cas il doit avoir le dossier sans intermédiaire et en intégralité.

affaire Niderost-Huber /suisse n°104/1995/610/698 arrêt du 18/02/97, totalité des pièces du dossier . l'article 1190 NCPC est contraire à la CEDH et à sa jurisprudence dont celle ci.

affaire Werner/autriche 24/11/1997 n°138,

affaire KDB /autriche 27/03/98 n°80,

arrêt JJ / pays bas N°9/1997/793/994,

arrêt Reinhardt et Slimane-kaid/france 31/03/1998 n°21/1997/805/1008

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